Parole de Libellien - Épisode 2 🎥
Parole de Libellien - Épisode 2 🎥

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Parle-nous de ton métier !

J’interviens sur des projets de tous types principalement dans le domaine de l’aéronautique et du spatial. Je suis déjà intervenu dans le domaine du médical, dans le transport, le ferroviaire et sur des projets qui intègrent tous types de systèmes électroniques embarqués.

Je vais intervenir sur des projets afin de travailler sur un composant spécifique, le FPGA, qui permet de travailler sur des tâches dédiées tel que du traitement vidéo ou de l’asservissement.

 

Pour exemple, Lors de ma première mission, je travaillais sur un équipement dont le but était d’acquérir des images de la Terre pour un satellite météorologique. Mon travail a été de faire du traitement vidéo pour les caméras intégrées sur le système en question.

A partit du code VHDL intégré sur le FPGA, mon but était de récupérer les vidéos de la caméra, les assainir en termes de bruits et de salissures et effectuer les différents traitements voulus par le système en lui-même.

 

Ce que j’adore dans mon métier, c’est que je prends ça comme un jeu vidéo : J’ai le système qui est devant moi d’un côté et j’ai la spécification cliente de l’autre. C’est comme des niveaux à atteindre à chaque fois.

 

Tu as toujours voulu faire ce métier ?

A la fin de mes études en école d’ingénieurs à l’ESME Sudria de Evry-Sur-Seine, j’ai fait un stage lié à la technique sur de l’imagerie médicale embarquée et du traitement d’images en temps réel.

Suite à ça, j’ai effectué un MBA international en école de commerce pour voir l’autre côté de l’aspect technique. Découvrir l’aspect commercial au-delà de ce que j’avais pu apprendre en école d’ingénieurs car j’étais un peu frustré de travailler sur le cycle en V sur le côté technique uniquement et ne pas aller au-delà.

C’est ce que l’école de commerce ISG Paris m’a permis de faire via ce MBA. Comme je venais d’un milieu technique, j’ai travaillé principalement sur des connaissances très généralistes comme l’économie ou le marketing. Cela m’a permis de découvrir une branche toute autre avec une mentalité très différente.

Avant d’entrer dans le monde professionnel, c’est quelque chose que j’ai aimé apprendre.

 

Que conseillerais-tu à un jeune qui passe son bac et qui est tenté par ton métier ?

Je lui conseille de faire une école généraliste dans un premier temps s’il ne sait pas vers quoi s’orienter. Et si au contraire il sait déjà, alors qu’il se tourne de suite vers une école très ciblée sur l’apprentissage des compétences qu’il recherche.

 

C’est vraiment faire ce qui lui plait et s’orienter vers un métier qui lui correspond.

Tout ça passe au travers des stages et des premières expériences qui sont certes très courtes mais très importantes pour la suite du cursus.

A l’ESME, c’est une école très généraliste. Donc on acquiert des compétences très larges à la fois en électronique numérique, électronique analogique, en informatique, en réseaux et télécommunications et en énergie. C’est beaucoup car il faut être bon dans toutes ces matières mais c’est un bon challenge à relever.

 

Et concernant ton profil, il y a beaucoup de jeunes de ton âge ou tu croises plus généralement des profils plus expérimentés ?

Il y a beaucoup de gens plus expérimentés en électronique numérique. J’interagis la plupart du temps avec des experts mais on retrouve aussi beaucoup de consultants de mon âge. En électronique numérique, on reste un jeune profil de zéro à cinq ans car selon les différentes expériences qu’on va avoir on ne va pas développer les mêmes types de compétences. Plus on aura fait d’expériences variées plus on va acquérir de l’expérience.

C’est pour cela qu’il faut environ cinq ans pour avoir vu le maximum de choses et commencer à connaître les principales compétences dans ce métier-là.

 

Et les clients, ils pensent quoi de ton profil ?

J’ai des bons retours des clients. Je pense que grâce à l’école de commerce ils aiment ma façon de m’exprimer, de relater mes expériences et le fait que je sois assez précis.

En fait, comme j’interagis à la fois dans le milieu technique et le milieu commercial, je sais mélanger les deux et les lier assez proprement.

 

Tu te vois évoluer vers quel poste d’ici quelques années ?

Grâce aux deux missions que j’ai eu la chance d’effectuer avec LR TECHNOLOGIES GROUPE, je sais que je veux m’orienter vers de l’expertise technique dans ma compétence actuelle qui est la conception et le développement FPGA.  

Et ce grâce aux échanges que j’ai pu avoir avec des experts, je peux voir des exemples très concrets de ce que je peux être amené à faire plus tard et le challenge me plait.   

 

Et pourquoi LR TECHNOLOGIES GROUPE ?

Je me souviens très bien de ma recherche de CDI suite à la mise en ligne de mon CV à la fin de mes études.

J’avais été contacté par pas mal de sociétés et quand je faisais les entretiens dans les locaux, je sentais que beaucoup me faisaient venir car elles avaient des quotas à remplir, qu’elles n’étaient pas réellement tentées ou elles n’allaient pas au-delà de ce qu’elles avaient pu voir sur mon CV. Chez certaines sociétés, on me donnait une feuille pour que je remplisse mes compétences alors qu’elles avaient vu en ligne mon CV.  

Tout cela ne me donnait pas envie de donner mon maximum en entretien et d’aller plus loin.

 

Quand on a fait cela deux trois fois, on commence à être un peu agacé et c’est à ce moment-là que j’ai été en contact avec Michael.

 

Premier entretien, ça n’a rien eu à voir, j’ai eu une approche totalement différente !

C’est aller très vite après. J’ai rapidement eu un premier retour et on m’a fait revenir pour rencontrer Pierre RIO. Là aussi, l’échange était bien plus constructif qu’avec les autres sociétés, beaucoup plus poussé.

LR TECHNOLOGIES GROUPE pensait certes à ce que moi je pouvais leur apporter mais c’était dans les deux sens. Ils pensaient aussi à ce qu’eux pouvaient m’apporter, du fonctionnement de LR technologies avec mon cursus, mon parcours et ce que je souhaitais faire dans l’avenir.

J‘ai tout de suite eu un tilt et ce n’est pas quelque chose que j’ai eu dans les autres sociétés.

 

De plus, quand on voit les locaux on se doute qu’il y a un état d’esprit différent, que les gens interagissent différemment avec les consultants et c’est ça qui attire.

 

Ce qui me fait rester ? La réactivité est super importante ici, je n’ai pas fait d’inter-contrat et les missions proposées pour mon jeune profil sont parfaites !

J’ai eu des missions dans le spatial dès le début, dans le développement FPGA. C’était quelque chose que je ciblais donc j’en suis très content.

Je n’oublie pas l’interaction avec les ingénieurs d’affaires qui est quelque chose aussi de très important pour moi.

Pierre Rio est très accessible, quand on arrive dans les locaux on va parler avec tout le monde, on me tient au courant des news de la société, c’est très agréable.  

 

C’est ça qui m’a plu. C’est ce rapport là qu’on n’a pas dans toutes les sociétés. C’est une société qui continue de grossir certes mais qui reste aussi proche de ses consultants et c’est ça qui est très important.

 

Et alors, grand fan des événements LR ?

Ah oui je les ai tous fait ! Peut-être pas sur les deux ans que je suis là mais depuis un an et demi je les ai tous fait.

Je remercie toujours Anne-Sophie, Anne-Laure Mathieu ou encore Pierre à la fin de chaque événements car j’ai conscience que toutes les sociétés ne font pas cet effort-là de faire des évènements et encore moins aussi souvent.

Certes quand je parle avec des consultants d’autres entreprises, ils se retrouvent avec leurs ingénieurs d’affaires et ils font des sorties de temps en temps. Mais avec LR TECHNOLOGIES GROUPE c’est très souvent et c’est surtout des gros événements comme l’aquarium de Paris ou la patinoire de Bercy. J’ai conscience d’avoir de la chance d’être dans une société qui fait profiter ses consultants de ce genre d’événements. C’est pour ça que j’y vais pour les remercier, leur montrer que ça me touche.