Le jeu en entreprise: Une pratique "gadget"? 🎯
Le jeu en entreprise: Une pratique "gadget"? 🎯

Le jeu en entreprise: Une pratique "gadget"? 🎯

25 octobre 2018.

sous Life@

La gamification 🎯👾. C’est un terme qu’on entend aujourd’hui sur toutes les ondes.

Chez LR TECHNOLOGIES GROUPE, on a pris le parti de dire oui, on croit dur comme fer dans le fait que nos collaborateurs sont de grands enfants.

Et nous adhérons au fait qu’une entreprise d’aujourd’hui se doit de proposer à ses collaborateurs des concepts qui les feront retomber en enfance.

 

Mais concrètement, est-ce que nous avons eu raison ? Est-ce que la gamification au travail n’est pas qu’une mode qui passera tout comme est passée la mode du fameux Handspinner ? Où est-ce un concept qui ne fait que décoller et prendra son envol dans les années à venir ? 💡


Nous sommes tombés sur un article qui nous a perturbés – Et qui d’ailleurs a déclenché le besoin d’écrire à ce sujet.

Dans cet article, publié sur le site www.cadreo.com, nous découvrons l’interview de l’économiste Nicolas BOUZOU. En résumé, il considère qu’aujourd’hui les entreprises se trompent sur le fait de devoir apporter du bonheur au travail par des « gadgets ».

 

« Les salariés ne demandent pas un Chief Happiness Officer ou des babyfoot dans les locaux mais de trouver du sens à leur travail et d'avoir l'autonomie nécessaire pour bien le faire. Or les entreprises ont choisi de leur apporter du confort. Ce n'est pas idiot mais ce n'est pas la réponse attendue. »

Sur le fond, c’est compréhensible. Donner un babyfoot mais ne pas apporter une base de reconnaissance ou de sécurité est bien entendu illogique.

 

Selon lui, il faut donner du sens à son travail, et ne pas culpabiliser les collaborateurs : « Faire des cours de yoga ne va pas rendre les gens heureux. Pire, quand vous faites appel à un Chief Happiness Officer vous créez une injonction au bonheur et culpabilisez les salariés de ne pas être heureux. »

Pour Nicolas BOUZOU, une entreprise n’est pas un jeu. Elle repose sur une organisation purement verticale, avec des inégalités de strates qui doivent être connues par les collaborateurs et respectées.

 

Et c’est là où nous avons tiqué. Certes la hiérarchie se doit d’être respectée dans une entreprise même si nous tutoyons notre manager. En revanche une hiérarchie horizontale et moderne n’empêche pas cela.

 

Alors nous nous sommes renseignés sur le sujet.

 

“La maturité de l'homme, c'est d'avoir retrouvé le sérieux qu'on avait au jeu quand on était enfant”

Cette citation de Friedrich Nietzche est aujourd’hui plus qu’actuelle.

 

Selon Charles CUVELLIEZ, de l’école Polytechnique de Bruxelles, les jeux font appel à notre envie de progresser, d’apprendre, de surpasser les autres ou soi-même, d’interagir, de découvrir, de gérer des risques et de connaître nos limites. Dès qu’on connait un succès, un peu de dopamine se déclenche dans notre corps. Il y a donc une réelle réaction physique de bien-être et de bonheur.

Pour 59% des salariés français, la priorité n°1 est le bien-être au travail avant même les conditions de travail (56%).

Ajoutons à cela 92% des salariés qui restent dans leur société si l’ambiance de travail est ressentie comme bienveillante et conviviale.

 

Alors oui, reprenons les termes de Nicolas BOUZOU, « Les salariés […] disent ne plus vouloir faire des formations où ils doivent s'exprimer avec des Lego à encastrer. », mais cela ne signifie pas que le jeu au travail doit être totalement prohibé.

 

Ce concept à même plusieurs avantages pour les collaborateurs :

  • Une amélioration de la performance 💪🏽

Eh oui, c’est plutôt logique. En jouant, on mémorise mieux et on est plus libéré dans ses idées.

  • Une motivation des collaborateurs 🙋🏻

68% des français jouent aux jeux-vidéos selon une étude SELL de 2017 ! Alors leur proposer des jeux en entreprise va les rendre plus engagés, plus fidèles à leur société, et peut même mettre en avant des talents cachés.

  • Un renforcement d’esprit d’équipe et de confiance ⚽️

Quand on joue, on est plus spontané ! On va plus échanger et faire confiance à nos collègues de jeu via des stratégies et des décisions à prendre.

 

Et du côté de l’employeur ? Le jeu va aider à cerner son collaborateur.

Selon Charles CUVELLIEZ, il existe quatre types de joueurs :

 

  • Les tueurs :Ils veulent uniquement la gagne. C’est ici qu’on peut découvrir des talents du côté des CEO et des équipes de vente.
  • Les accomplisseurs : Ils aiment gagner, relever des défis et aiment progresser. Ils recherchent une validation de leurs compétences plutôt qu’un classement. Dans une entreprise, ce sont des profils très précieux qui vont garantir une expertise et une connaissance du métier.
  • Les socialiseurs : Ils aiment le contact et la coopération des joueurs. Ils motivent, entrainent, se placent comme des coachs.
  • Les explorateurs : Ils aiment la nouveauté, la découverte. Dans un groupe, ils remettent en question des habitudes ou encore les processus, se manifestent quand il y a un blocage ou un manque d’idée.

Donc non, le jeu n’est pas inutile en entreprise, loin de là.

D’ailleurs, chez LR TECHNOLGIES GROUPE, c’est nos Libelliens qui ont eu le choix ! Après des sondages et des brainstormings tous ensemble, nous avons choisi les locaux, ce qu’ils voulaient à l’intérieur et les jeux les plus demandés par nos Libelliens !

 

Et c’est pour cela que LR TECHNOLGIES GROUPE a décidé de mettre le jeu au centre de toutes les entités ! Que vous alliez sur Versailles, Toulouse, Brest, Nantes, Bordeaux, Rennes ou Aix-En-Provence, vous trouverez des bornes d’arcade 🕹, des baby-foot⚽️, des jeux de fléchettes🎯, des tables de ping-pong🏓 ou encore des billards🎱. Parce que le jeu, ce n’est pas gadget.

 

  • Parce que tous les midis, l’équipe se retrouve autour de l’un d’entre eux, sort la tête de son travail le temps d’une partie et discute de tout et de rien.
  • Parce que c’est aussi lors d’une partie que les managers ont le plus accès à l’état émotionnel de leurs équipes et que les équipes arrivent à se confier à leurs managers.
  • Parce que lors d’incompréhensions dans les équipes, jouer à un jeu calme et stratégique comme le billard aide à régler toutes les tensions.
  • Parce que à 16h, quand les managers ont besoin d’un défouloir, rien ne vaut une partie endiablée de baby-foot.

 

C’est aussi pour cela qu’avant ou après – voir même pendant – un entretien, nous proposons au candidat une petite partie : Il se détend, enlève ce stress de l’entretien d’embauche classique et peut être lui-même. À la fin de cet entretien, il sent qu’il a été bien plus lui-même plutôt que s’il avait été dans une salle à répondre à un recruteur qui coche des cases sur une feuille. 📝

 

Chez LR TECHNOLOGIES GROUPE, nous organisons des parties de babyfoot. Mais nous organisons aussi des escape games, des kartings, des bowlings, des parties de paintball, des laser games ou encore des expériences de Réalité Virtuelle !

 

Alors oui, avant de mettre en place cela, il faut que le socle soit validé. C’est grâce à notre label Great Place to Work qu’on sait aujourd’hui que nous faisons les choses le mieux possible : 97% des Libelliens considèrent que l’encadrement leur fait confiance pour accomplir leur travail sans contrôle constant, 90% disent que les managers font preuve d’intérêt sincère en tant qu’individu et pas seulement en tant que salarié et 97% des nouveaux collaborateurs se sentent bien accueillis.  ✅

 

Donc oui, chez LR TECHNOLOGIES GROUPE, on aime chouchouter nos Libelliens, on aime jouer, on aime partager, on aime échanger ! Et tout cela dans toutes nos entités partout en France !

 

What Else?

 

9e place au Great Place To Work 2016 – Catégorie moins de 50 salariés.

13e place au Great Place to Work 2018 – Catégorie 50 – 500 salariés.

Certification norme ISO-9001 qui met en place des processus de bon fonctionnement pour que les collaborateurs se sentent en sécurité et bien cadrés.

Un Président qui est accessible dès le standard de LR TECHNOLOGIES GROUPE.  Un directeur général et une responsable RH qui connaissent leurs Libelliens sur le bout des doigts.

 

Bref, on est différents et on en est fiers.